Le crédit d’impôt recherche et le crédit d’impôt innovation octroient aux entreprises innovantes un potentiel supplémentaire : ils favorisent le développement économique et Tech de notre pays.
La France constate une multiplication des dépôts de projets R&D. Nos start-ups et entreprises innovantes peuvent être fières d’elles. Celles-ci représentent le potentiel français à l’international. La FrenchTech est touchée à minima par la COVID-19 : son développement est fulgurant et les crédits d’impôts confortent ce développement à l’échelle nationale.
NEOPTIM enregistre une plus forte demande de la part des Jeunes Entreprises Innovantes (JEI) et des entreprises Tech, IA et IOT pour les crédits d’impôts. On observe une affluence singulière exacerbée par la conjoncture. Nos consultants vous accompagnent jusqu’à l’obtention de ces leviers malgré la multiplication des dossiers et demandes.
Nous craignons néanmoins un recul général. Les demandes de dépôts correspondent à des dates antérieures à mars 2020. Nous devons absolument garantir à nos entreprises une souveraineté nationale et un rayonnement européen.
Pérennisons l’avancée de vos entreprises ! NEOPTIM veut préserver la recherche R&D en France. Pour ce faire, nous organisons nos audits de sorte que chaque entreprise puisse bénéficier d’une approche la plus personnalisée possible.
Le projet de loi de finances pour 2021 modifie l’application du CIR. Ainsi, l’article 8 mentionne les Aménagements du crédit d’impôt recherche et du crédit d’impôt innovation à destination des TPE et PME de Corse.
Le PLF2021 ne touche qu’à minima au fonctionnement spécifique du CIR et du CII. L’État l’a bien compris : s’il souhaite multiplier la force de frappe de la France, il doit octroyer des moyens conséquents et ne pas toucher au plafond des dépenses allouées.