Grâce au plan de relance, on constate une augmentation des fonds publics alloués pour la rénovation énergétique des bâtiments. Pourtant, les Gouvernements successifs rencontrent des difficultés à étendre le projet à travers le pays. Manque de communication ou simple désintérêt des professionnels ?
La mécanique est néanmoins bien huilée : de nombreux articles ont fait l’éloge des certificats d’économies d’énergie et du dispositif MaPrimeRénov’ et les avantages sont clairs, vous ne dépensez pas des sommes exorbitantes et vous êtes optimal face aux règlementations environnementales instaurées.
Depuis le Grenelle de l’environnement en 2008 (soit 12 ans après), les mœurs n’ont pas vraiment évolué ! Sa principale mission avait pour but de réduire de 38% les émissions de CO2 d’ici 2020 pour le secteur du bâtiment. Les causes peuvent être diverses mais le manque de communication reste la plus importante. Le contexte économique et financier de la France a sans doute freiné l’avancée de cet objectif, pourtant fondamental en matière d’écologie.
De plus les particuliers ont été les principaux bénéficiaires et cibles de ces dispositifs, ce qui n’est pas en accord avec la composition actuelle des bâtiments français : la plupart des infrastructures polluantes sont en effet les propriétés des professionnels comme les bailleurs sociaux, les hôpitaux, le médico-social, l’associatif…. Ainsi, si l’on arrive à faire prendre conscience à l’État que les CEE doivent multiplier leurs actions à destination des professionnels, la régulation du taux de CO2 émis sera, en toute logique, plus faible.
Éveillé par cette réalité, NEOPTIM s’est largement documenté sur le sujet et propose des accompagnements spécifiques pour vos bâtiments. Prochainement, NEOGREEN interviendra exclusivement sur le volet énergétique. En attendant son déploiement, NEOPTIM optimise vos bâtiments et réhabilite le patrimoine français.
